Deuxième nouvelle erotique : Intimidation
La douleur me pénètre, m'envahit ... Elle traverse mon corps tel un frisson. Ses ongles transpercent ma peau et libèrent un terrible poison. Le sang coule, la douleur monte.
Sur ce lit blanc se trouvent les taches de l'imparfait, de celui qui a gouté au fruit interdit. Succube voit le liquide, sa langue vient caresser ses tendres lèvres. Elle en veut plus, ce rouge de la violence lui donne quelques idées et un terrible sourire en dit long sur son inspiration.
« Alors tu veux jouer mon petit ? Ne t'inquiète pas, j'ai quelque chose pour assouvir tes désirs »
Elle se baisse et saisit le fruit de ses pensées. De sous ce lit blanc, elle sort l'instrument de ma torture, l'objet de sa domination : un fouet long et fin, noir et froid. Elle le frôle, l'impatience, elle le prend, l'extase. C'est alors qu'elle manipule telle la dompteuse, sa langue de flamme. J'admire la performance de mes yeux grands ouverts. Soudain le fouet claque et me fait revenir à la réalité. La jeune femme me scrute avec son tendre regard, je me sens mal à l'aise. Ma peau n'a pas encore rougit qu'elle m'assène déjà une torture mentale.
« On sent que le moment fatidique va arriver ? »
Elle me le dit avec une telle douceur que j'ai l'impression que le démon devient ange. Oui je le sais, je sens déjà la douleur mais alors que le dernier acte arrive, de nombreuses questions envahissent mon esprit. Pourquoi moi, jeune adolescent de 15 ans, je me retrouve entre les griffes de ce monstre assoiffé de douleur ? Le timide garçon aurait-il laissé sa place à un homme pervers ? Et puis ... Cette expérience va-t-elle à jamais changer ma vie ? Je laisse échapper un soupir à peine perceptible mais que mon maître voit bien : son fouet claque. Le délicieux sourire a disparu. La dompteuse voit son animal désobéir, elle sévit et frappe. Nous nous dévisageons, nous nous défions du regard, à celui qui baissera la tête en premier. La femme le sait, son arme ne suffira pas dans ce combat psychologique. Soudain elle se met à m'observer avec de petits yeux en amandes.
« Comme cela, le matou ne veut pas se faire mater ? Très bien tu l'auras mérité »
Son délicieux sourire revient, signe d'un terrible méfait à venir. Elle commence à faire tournoyer son objet. Soudain, tel l'éclair, son fouet vient me caresser mon corps et brûler ma chair. Je pousse un cri des plus perçants accentuant le sadisme de la jeune femme. La peau rougit marquée par ce délectable châtiment.
« Souffre »
Je me relève difficilement de ce coup. Son sourire sur mon visage, je la regarde droit dans les yeux. Elle le sait, elle s'en réjouit, l'apéritif ne m'a pas rassasié. Le fouet danse et claque, l'animal rugit. Ainsi, elle le fait encore tournoyer dans les airs. Je suis prêt, j'offre mon corps à ma dompteuse. Celle-ci ne se fait pas attendre et me lance sa langue ardente. Je ferme les yeux et m'apprête, l'espace d'une seconde, à laisser ce serpent de douleur prendre possession de mon corps. Il approche rapidement, montre ses crocs. Il se fraye un passage en m'arrachant la peau. Le dernier acte se termine, le sang gicle, je crie de bonheur
La douleur me pénètre, m'envahit ... Elle traverse mon corps tel un frisson. Ses ongles transpercent ma peau et libèrent un terrible poison. Le sang coule, la douleur monte.
Sur ce lit blanc se trouvent les taches de l'imparfait, de celui qui a gouté au fruit interdit. Succube voit le liquide, sa langue vient caresser ses tendres lèvres. Elle en veut plus, ce rouge de la violence lui donne quelques idées et un terrible sourire en dit long sur son inspiration.
« Alors tu veux jouer mon petit ? Ne t'inquiète pas, j'ai quelque chose pour assouvir tes désirs »
Elle se baisse et saisit le fruit de ses pensées. De sous ce lit blanc, elle sort l'instrument de ma torture, l'objet de sa domination : un fouet long et fin, noir et froid. Elle le frôle, l'impatience, elle le prend, l'extase. C'est alors qu'elle manipule telle la dompteuse, sa langue de flamme. J'admire la performance de mes yeux grands ouverts. Soudain le fouet claque et me fait revenir à la réalité. La jeune femme me scrute avec son tendre regard, je me sens mal à l'aise. Ma peau n'a pas encore rougit qu'elle m'assène déjà une torture mentale.
« On sent que le moment fatidique va arriver ? »
Elle me le dit avec une telle douceur que j'ai l'impression que le démon devient ange. Oui je le sais, je sens déjà la douleur mais alors que le dernier acte arrive, de nombreuses questions envahissent mon esprit. Pourquoi moi, jeune adolescent de 15 ans, je me retrouve entre les griffes de ce monstre assoiffé de douleur ? Le timide garçon aurait-il laissé sa place à un homme pervers ? Et puis ... Cette expérience va-t-elle à jamais changer ma vie ? Je laisse échapper un soupir à peine perceptible mais que mon maître voit bien : son fouet claque. Le délicieux sourire a disparu. La dompteuse voit son animal désobéir, elle sévit et frappe. Nous nous dévisageons, nous nous défions du regard, à celui qui baissera la tête en premier. La femme le sait, son arme ne suffira pas dans ce combat psychologique. Soudain elle se met à m'observer avec de petits yeux en amandes.
« Comme cela, le matou ne veut pas se faire mater ? Très bien tu l'auras mérité »
Son délicieux sourire revient, signe d'un terrible méfait à venir. Elle commence à faire tournoyer son objet. Soudain, tel l'éclair, son fouet vient me caresser mon corps et brûler ma chair. Je pousse un cri des plus perçants accentuant le sadisme de la jeune femme. La peau rougit marquée par ce délectable châtiment.
« Souffre »
Je me relève difficilement de ce coup. Son sourire sur mon visage, je la regarde droit dans les yeux. Elle le sait, elle s'en réjouit, l'apéritif ne m'a pas rassasié. Le fouet danse et claque, l'animal rugit. Ainsi, elle le fait encore tournoyer dans les airs. Je suis prêt, j'offre mon corps à ma dompteuse. Celle-ci ne se fait pas attendre et me lance sa langue ardente. Je ferme les yeux et m'apprête, l'espace d'une seconde, à laisser ce serpent de douleur prendre possession de mon corps. Il approche rapidement, montre ses crocs. Il se fraye un passage en m'arrachant la peau. Le dernier acte se termine, le sang gicle, je crie de bonheur